samedi 28 août 2010

L'ECOEUR N 2

Nous revoici!
Après nos 2 premiers numéros, Le Fisc s’est mit à nous poursuivre.
Afin de lui échapper, nous nous sommes vus obligés de nous cacher dans notre cagibi. Avec comme seule et unique nourriture, la chaire grasse de notre regretté cinquième chroniqueur, “Jules Bureau”.
Trois mois enfermés nous ont permis de vous concocter un numéro spécial sur les valeurs de ce bas-monde.
Une édition plus étoffée vous attend, qui, avec ses pages à n’en plus finir, apporte enfin un soupçon de valeur à ce pamphlet surchargé.

"la rédac"

BD, comic's

.... D . L . P


Tant de cultures et de valeurs composent notre espace. Elles voyagent et se confondent sans cesse, oeuvrant à l’assimilation de chacune d’entre elles. Les cotoyer et les
comprendre permettent de se cultiver, adhérer à une seule d’entre elles, c’est annihiler sa propre évolution.

La différence crée le dynamisme, elle nous oblige à écouter, apprendre et comble nos lacunes, elle est issue d’un besoin d’actions communes. La standardisation divise les intérêts, si il n’y a qu’une vie pour mille carcasses, il faudra se battre pour l’avoir.

Aucune action de groupe ne se planifie sous forme de calcul numérisant chaque acteur, de cette soit-disant équation. L’authentique action de groupe a pour caractéristique d’être valorisante, et à échelle humaine, elle est directement gérée par ceux qui sont amenés à s’y rencontrer.

Le travail qui n’apporte aucun intérêt humain et personnel n’est pas enrichissant pour la personne.

L’homme riche, est un homme sans valeur par le fait qu’il les a toutes assimilées sans s’y rattacher. Il est indiférent de tout et n’existe que par ce qu’il crée.
Ce qui fait qu’il est unique.

D . L . P

Du cotés de chez Sine...

Certaines valeurs doivent être acquises, non pas par la transmission, mais par une démarche active et personnelle.
De l'idée qu'il faut apprendre, on en oublie qu'il faut d'abord aimer apprendre. On en est arrivé là car on mange sans goûter, on nous transmet sans comprendre. Une valeur est donc intéressante dans son découlement et non dans son dénouement.
Mais depuis que l’Homme se plait à être prophète, toute réflexion personnelle est prohibée par l'idée même que les voies du seigneur sont impénétrables. Pourtant, les notions de pénitence et de justice devraient être réapprises en se souvenant que le pardon ne remplace pas l'injustice. N'y voyez pas un problème personnel envers les religions puisque j'entends religion dans son sens large. Le grand gourou de la télévision est aussi mon « homme à abattre ».

Bien sûr, les extrêmes ne sont jamais bon. Je ne crache pas sur les valeurs; pour moi c'est ce qui habite réellement l’homme : l'acquisition d'un comportement si profond qu'il en devient presque instinct. La plus belle manière de lutter contre notre bestialité.

Mais le problème est qu'aujourd'hui si je ne connais pas, on m'ordonnera quoi faire car je n'ai pas le temps de comprendre. Et de fil en aiguille, on en arrive à des valeurs construites sur l’absence de remise en question et
un manquement de l'éducation, avec plus de
« tu ne dois pas » que de « tu devrais ».

L'incapacité de l'éveil du sens critique et de la remise en cause des informations fait que nous perpétuons naturellement des générations de consommateurs d'émotions médiatiques qui seront esclaves des émotions fabriquées par les autres et non plus des acteurs responsables de leurs décisions parce qu'ils auront
des convictions, leurs valeurs!

Il parait qu'une fois les ailes du papillon touchées, il ne pourra plus quitter le sol..
Et pourtant, le changement est au coin de la rue.

Hé voilà la sixième boulette de papier qui termine à la corbeille, je suis vraiment incapable de trouver quoi que ce soit.
Le cerveau est aussi déssèché que la pelouse jaunie par l'été.
Qu'est-ce qui a de la valeur de nos jours? Le mieux c'est de se la jouer comme un journaliste du JT et de descendre dans la rue pour interroger Mamie Tartine passant en bas du studio.

Le temps de griller une clope sur le trottoir et c'est Greg, vendeur d'abonnements pour une société de communications qui accepte de répondre à quelques questions.
Ni une ni deux j'entre dans le vif du sujet : Qu'est-ce qui peut mesurer la valeur selon toi? - Les choses les plus importantes n'ont pas de valeur pour le reste, il y'a m*ster c*rd... »

Content de tomber sur un gars sympa j'arrive à pousser la conversation plus loin on en arrive à citer Stiglitz et « La grande Desillusion » rééditée en livre poche. Il y démontre que les grands organismes internationaux censés gérer la stabilité économique internationale sont dépassés et corrompus. Pierre Lemieux dans « comprendre l'économie, ou comment pensent les économistes » replace les bases de l'économie actuelle, en citant des événements récents il illustre les travers qu'elle génère.

Il ne faut pas oublier que dans une société le système de valeur dépend des normes établies, à l'heure actuelle tout ce qui nous entoure est standardisé, conditionné et emballé.
Les normes sont convenues par des organismes internationaux dépendant en majeure partie de l'ONU.

Tant qu'on en parle, de l'ONU, fer de lance de l'humanitaire international, ses forces sont majoritairement composées par l'armée américaine, si elle doit représenter l'aide internationale, il serait grand temps de la remodeler, ce sujet a été traité par l'ATTAC dans le livre “ une autre ONU pour un autre monde” disponible chez Tribord.

La complexité de notre société ne cesse d'augmenter avec le temps et la globalisation, les systèmes de valeur évoluent avec elle dans le temps, François Fourquet économiste universitaire retrace une partie de ces changements dans son ouvrage “L'argent, la puissance et l'amour, réflexions sur quelques valeurs occidentales”. Disponible en libre accès sur google books le lien se trouve sur notre blog.

S’il est une valeur primordiale pour moi c'est celle de chercher à s'informer, à se former, à évoluer et à trouver ses propres normes pour avancer, car l'homme de valeur crée la sienne. Sur ce je laissais Greg à ses occupations en espérant ne pas l'avoir trop effrayé.

C . G

(Centre) La valeur de l’écoeurement. (Passe)

La valeur de l’écoeurement.

Par le papier, nous ne faisons que peindre plusieurs questions. C’est à vous de les ressentir, nous ne poussons qu’au positionnement.
Il est important de se demander quelle réponse sommes nous.
C’est ainsi que l’on crée une vraie diversité d’idées.

Procurer le pouvoir de réponse de notre quotidien à un parti, c’est
standardiser l’idée de ce que nous sommes. Il faut vivre ses questions afin de devenir sa propre réponse, d’habiter ses solutions.
Lorsque l’on homogénise une multitude de questions pour n’en faire qu’une, on manipule la réponse.

L’ECOEUR par ses actes ne cherche qu’à poser des débats afin que chacun crée et pose ses propres réponses.

A vous...

Présentation,

"Carnet de Valeur",... le ptit plus qui fait pas mal








jeudi 6 mai 2010

Edito

BD, comic's

Ecographie d'une écologie moderne.





















D . L . P















C . G

La conscience collective : Une force plus vraie que nature

Introduit en 1866, le terme “écologie” désigne l’étude scientifique des interactions entre le biotope et les êtres vivants, le tout formant l'écosystème. 110 ans après, une fondation « les Amis de la Terre - Belgique » fut créée. Elle donna naissance au parti écolo en 1980.

D'une science devenue mouvement politique, c'est aujourd'hui par une culpabilisation d'ordre
individuelle qu'elle s'impose dans nos esprits. La politique a pour mauvaise manie de ne s'attaquer qu'aux conflits qu'elle a elle-même engendrée. On vous préviendra donc des néfastes produits ménagers, destructeurs de notre fine couche d'ozone; du papier plastifié,...

Vous a t'on sensibilisé sur le tourisme, activité faisant tenir la fragile économie de centaines pays? Et pourtant le touriste pollue 7 à 10 fois plus que l'habitant local.

« Polluer, c'est mal! ». Maintenant, il est tout de même temps de se demander s'il n'y a pas quelque chose derrière ces montagnes. L'écologie politique, ce n'est plus d'actualité, ce n'est plus le problème, ce n'est plus suffisant.

Aujourd'hui nous faisons vivre le système et lui nous offre une sécurité, des occupations, bref un confort. Et c'est à travers lui que nous sommes pieds et poings liés. Heureusement, ce n'est qu'une métaphore et nous pouvons briser nos chaines par la « sapiens disciplina», soit l'éducation intelligente.

Comment l'État me considère-t’il?
Ne suis-je qu'un enfant que l'on menace d'une privation de télévision? Il semble que oui. Il nous fixe un objectif et n'hésite pas à instaurer toutes sortes de mesures, qui vous semblent en grande partie inutiles, voire inconnues.
Et je ne vous contredirai pas.
Néanmoins, l'éducation intelligente dans un esprit de conscience collective nous pousse à nous rappeler qu'il ne faut pas voir en la législation qu'une forme de censure. Pour la prochaine génération, ce qui vous apparait comme une restriction ne leur sera qu'une mœurs logique, compréhensible et intelligente. Il est donc de notre devoir de ne pas oublier l'importance de nos décisions, et du patrimoine que nous leur léguerons! Pris par vagues de paniques, nous tentons de résoudre nos problèmes à court-terme, se disant qu'il n'y aura pas de futur sans un présent concret. Mais le présent est pensé de façon tel que la société, par son obstination à un surdéveloppement continuel et insensé, ne peut engendrée de futur quel qu'il soit.

Les pessimistes, ou même seulement réalistes me demanderont que pourrait-on mettre en place qui serait différent de l'écologie politique? Quel parti politique serait assez fort pour changer les choses? N'est-ce pas le rôle des puissants de se creuser les méninges tout en tenant compte de la crise? Je vous répond qu'il ne faut pas de système politique. Et ce n'est en rien anarchiste. L'anarchie c'est la destruction de toute forme de pouvoir. Je vous propose de créer le votre : celui d'instaurer une conscience collective. Cela commence en se remettant en question quant à notre plaisir et à la valeur de ces «apple choses» qui nous en apporte. Avoir le rendu d'un plaisir éphémère, en se cachant derrière l'excuse d'une philosophie carpe diem, n'est plus tolérable. Être carpe diem, oui, sans bagage non! Ainsi, concentrer nos efforts sur une évolution durable ne sera plus une énergie gaspillée par une réalité économique qui va à son encontre.
Il semblerait que les porteurs du drapeau vert aient oublié qu'avant d'être un mouvement politique, l'écologie est une idée diffusée par une communauté voulant vivre en symbiose avec son environnement.
Beaucoup sont émerveillés par Avatar, film de James Cameron, mettant en avant le lien entre les êtres vivants et la nature. Ils voudraient y être! Alors pourquoi rester spectateur de votre vie?

SINE

Pleine page

jeudi 1 avril 2010

.......

Alors...N°0....

Petite BD pour commencer.

Introduction


Nous voici dans l’ère de la masse et le cinéma n’y échappe pas. Comme toujours il est utilisé pour ses qualités de communication et de diffusion.

Ceux qui viennent s’asseoir pour le regarder n’attendent que du divertissement pour nourrir leur journée et du popcorn pour leur estomac.
Les effets spéciaux dépassent la réalité pour faire oublier la sienne au spectateur. Toujours plus de trucages pour élargir la créativité des réalisateurs, pourtant les scénarios ne changent pas.

Durant ces dernières années le cinéma s’est de plus en plus homogénéisé d’un pays, d’un continent à l’autre. Les rouages d’une grosse industrie ce sont mis en route avec ses monopoles, ses stratégies, sa grande production, laissant peu de place aux autres façons de penser et diffuser un film.

D . L . P

Bd, comic's

La Bobine d'Ariane


La Bobine d’Ariane

On se fait un kiné? Quoi, un kinésithérapeute? Non, un ciné abruti...
Voilà un magnifique nom de groupe Facebook, n'est-il pas ! L'enjeu de ce numéro, c'est de vous faire perdre cet affreux tic langagier.

Un traitement radical serait le bienvenu, je vous prescris quelques séances dans les « AUTRES » cinémas. Les cinémas de quartier ayant pour la plupart disparus, il reste quelques bastions indépendants qui valent le détour. La thérapie doit s’effectuer en festival, l’ambiance en est curative avec la 23e édition du BIFFF qui se déroulera du 8 au 20 avril sur le site de Tour et Taxi (oui on sait, c'était mieux au 44) avec une sélection toujours aussi variée (80 films) et surtout cette compétition de courts métrages belges le 16/04.

Du côté de la Cinematek le cycle Expérimental s'achève en avril c'est l'occasion d'aller voir les courts métrages de feu Man Ray les 2 et 9 avril, ou encore l'essai (F for Fake) d'Orson Welles sur le faussaire d'oeuvres d'art Elmyr de Hory., Il est un questionnement sur le rapport créateur/création (du grand O.W.).

Toujours plus court en avril, on passera sans rechigner à la 13ème édition de la nuit du court métrage au cinéma Vendôme le 30 avril.
Si avec tout cela votre esprit critique et votre envie de communiquer (sans arrières-pensées) de belles idées ne va pas mieux, revenez me voir le mois prochain, même jour, même lieu, même heure.

Pour une nouvelle consultations, …
Viens voir le Docteur.

C . G

Bipartite au guichet,... (le choix au cinema)


Bipartite au guichet, ... comme dans l’isoloire.

L’imaginaire s’empare de nos salles, tout récit est adapté pour ravir effets spéciaux et 3D. Hélas, rien n’y est vraiment raconté.
Les styles fantastique, héroïc fantasy, ... sont aujourd’hui, avec les scénarios catastrophes, les grands chéris du cinéma de divertissement.

Du Seigneur des Anneaux à Alice in Wonderland en passant par Harry Potter, tous mettent en scène de fabuleux personnages dans un monde merveilleux, mais la vraie intelligence que pouvait détenir ce type de récit est éliminée lors de la scénarisation.

Mais où est passé le génie du récit de Lovecraft, les transpositions intelligentes d’étapes de la vie de l’Homme, de ses angoisses les plus primitives, la folie d’Edgar Allan Poe, récit tranchant net et schizophrénique.

Aujourd’hui prime “l’imagination créatrice” dans le graphisme des personnages ou des décors, le tout mis en scène, dans un grand spectacle visuel, vous sondant l’esprit durant 2H30.

Si le Fantastique nous arrache à la terreur de l’actualité quotidienne, le cinéma sait aussi relativiser en nous rappelant que la terre s’éteindra bientôt.

De 2012 à Avatar en passant par le Jour d’Après, la fin de notre “belle” humanité est remise à toutes les sauces mais entre nous, la catastrophe c’est le cinéma du genre.

D . L . P

Le prix à payer pour communiquer

Communiquer ne devrait pas avoir de prix, pourtant il y a mastercard.

Qu'ils soient civils, pénaux, commerciaux, nos codes sont les précieux garants de notre modernisation.

Rien n'apparait du néant.
Un homme Napoléon Bonaparte, despote éclairé et stratège hors pair, futl'investigateur de ces codes.
“Objectif : accorder une certaine liberté bonapartiste ”.
Dans cet élan de générosité, il faut respecter une règle primordiale sortie de la bouche même du père de nos codes : « une constitution doit être courte et obscure, pour ne pas gêner l'action du gouvernement ».

Bon d'accord, le petit cours d'histoire tout le monde s'en fout! Préparons les popcorns et étalons nous sur les films!
Aujourd'hui, le 7ème art est plus que jamais présent dans notre société. Oh mon Napoléon! Quel blasphème!
Je voulais dire que le cinéma poubelle, lui, est plus que jamais présent dans notre société de
consommation et de « services ». Normal puisqu'il est devenu un marché économique avant d'être un échange artistique. On a toujours eu la sale manie de quantifier les choses, leur donner une valeur pécuniaire déterminée par les politiques des États. Mais pour quel motif?! Les créations ont une valeur artistique et elles sont tout sauf un vulgaire bout de papier cacheté par un €!

A vous d'en tirer vos propres conclusions mais si on quantifie tout, faisons le jusque bout! Puisque la mode est un éternel recommencement, reprenons sa formule : prenez des gladiateurs dans un grand colisée plasma, rajoutez-y un zeste de violence et de sadisme, mettez le tout derrière un écran pour éviter que le spectateur ne culpabilise, chiffrez le tout et... ça y est! On l‘obtient notre cinéma poubelle! A présent, faisons un classement des plus grosses poubelles, le fameux « box office succes » qui signifie littéralement « guichet du théâtre qui fait recette ». On intègre les notions de propriétés et de créations intellectuelles, par créations on entend qu'un individu est l'auteur de créations d'esprits (images, dessins, écrits, musique, etc). Avec ses maitres mots comme les termes brevet et copyright.


Cette idée de propriété et ces grandes épopées de la légitimité de l'œuvre de l'auteur auraient du développer et encourager la créativité, mais c'est la finalité qui inverse la tendance : si on étouffe la créativité intellectuelle, le cinéma devient une guerre! Son nerf est l'argent et les médias son champs de bataille.
Capable du pire comme du meilleur, c'est en ne faisant qu'un pas que l'on passe du sublime au ridicule.

SINE

Biblio conseille, pour tous...


Références à consulter, conseiller ou consommer sans modération.

L'éditeur spécialisé dans le domaine du cinéma en Belgique, Yellow Now répondra aux attentes des plus exigeants. Avec les années leur catalogue propose une gamme réduite mais cohérente au niveau des choix éditoriaux, de Godin à Godard en passant par le cinéma documentaire décrit par C. Bizern

=> www.yellownow.be <=

Du côté du CNRS (Centre national de la recherche scientifique), on remarquera deux ouvrages sur les fonctionnements du marketing et de la distribution dans l'industrie du cinéma. Bien que le domaine d'étude soit la France ou Hollywood, ils éclaireront le lecteur sur la complexité des mécanismes de la machine, ses chiffres et sa hiérarchie.

Autre ouvrage chez le même éditeur : " Les remakes des films français à Hollywood » R. Moine (CNRS éditions, 2007), pourquoi américaniser le cinéma français,... pour l'exporter ?

Quel marketing pour le cinéma : Laurichesse Hèlène (CNRS éditions, 2006)

Hollywood à la conquête du monde : Mingant, Nolwenn (CNRS éditions, 2010)

C . G

Références à consulter, conseiller ou consommer sans modération.

L'éditeur spécialisé dans le domaine du cinéma en Belgique, Yellow Now répondra aux attentes des plus exigeants. Avec les années leur catalogue propose une gamme réduite mais cohérente au niveau des choix éditoriaux, de Godin à Godard en passant par le cinéma documentaire décrit par C. Bizern

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Du côté du CNRS (Centre national de la recherche scientifique), on remarquera deux ouvrages sur les fonctionnements du marketing et de la distribution dans l'industrie du cinéma. Bien que le domaine d'étude soit la France ou Hollywood, ils éclaireront le lecteur sur la complexité des mécanismes de la machine, ses chiffres et sa hiérarchie.

Autre ouvrage chez le même éditeur : " Les remakes des films français à Hollywood » R. Moine (CNRS éditions, 2007), pourquoi américaniser le cinéma français,... pour l'exporter ?

Quel marketing pour le cinéma : Laurichesse Hèlène (CNRS éditions, 2006)

Hollywood à la conquête du monde : Mingant, Nolwenn (CNRS éditions, 2010)

La Centrale

Voici la page centrale du numéro zéro (sans son texte), à chaque numéro retrouvez une page centrale réalisée par rapport au sujet abordé.

Ce mois-ci : le Cinéma et son "Hollywood boulevard"